Une Fête...celle des Papas

Publié le par Papillotte

 

 

 

Papa....deux syllabes qui sans toi n'ont plus la même saveur

Pas à pas tout au long de ma vie tu as su guider mes pas

Aujourd'hui je ne peux que te serrer dans mon coeur

Et ce grand vide qui m'habite malgré  le temps ne s'estompe pas

 

 

 

De ta présence et ta prestance

 Il ne me reste que ton absence

 

 

 

La mort ne peut être imaginée, puisqu'elle est absence d'images.

 

Elle ne peut être pensée, puisqu'elle est absence de pensée.

 

 

Mais lorsque celui que l'on croyait éternel nous laisse

Et que chaque matin nous blesse

Une journée semble une éternité

Où chaque demain revient nous hanter......

 

 

Je cherche encore le deuil

Chaque jour je me recueille

Et chaque soir je pleure

Dans la solitude de ma demeure

 

 

Jean de la Fontaine disait : "L'absence est le plus grand des maux"

 


 

Nulle fable à pâle morale

Juste une réalité impalpable

Un vide à chaque tournant de la journée

quand en vain on cherche l'être aimé

 

 

Papa je t'aime et pour le restant de mes jours je marcherai dans tes pas

 

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Publié dans Papa

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S
<br /> La mort n'est pas "absence de pensée", bien au contraire ...elle nous y mène !<br /> <br /> <br /> La chair n'est qu'un revêtement ....<br /> <br /> <br /> L'essentiel d'un être est ailleurs .........en suivant le chemin de l'âme !<br /> <br /> <br /> Je t'embrasse tendrement : sabine.<br />
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D
<br /> Papa, pas à pas, je trouverai le bon pas, qui m'enlèvera cette pâleur qui m'a empâlé le coeur depuit ton départ. <br /> <br /> <br /> Ton absence n'est pas un passe-temps, mais un mauvais temps qui passe. <br /> <br /> <br /> Je sais qu'un jour ce vide insipide disparaîtra. Je retrouverai une autre joie, que je partagerais avec ceux qui t'ont connu. Mais ce jour là, la place du roi sera pour toi. <br /> <br /> <br /> Voici le ressenti que j'ai eu, avant et après le deuil de mon papa. Maintenant, quand je parle de lui, raconte des anégdotes, parle de l'homme qu'il était, des rires en sortent. <br /> <br /> <br /> Je sais qu'un jour, tu comprendras ces mots. Et même s'il ne sera pas là, de par tes anégdotes, tu le feras vivre d'une autre manière. <br /> <br /> <br /> Douces pensées d'une Hirondelle pour un papillon où l'amitié est chère à mon coeur. <br />
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P
<br /> <br /> Douce hirondelle tu es chère à mon coeur et tes mots sous les miens sont sources d'espoir, tu as su en user pour les transformer et leur donner un nouvel envol que j'espère pouvoir suivre un<br /> jour...<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> oui je le crois Merci pour ce souffle d'espoir et surtout pour cette amitié sensible<br /> <br /> <br /> <br />
F
<br /> et tu n'es pas la seule dans ce cas hélas<br />
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P
<br /> <br /> oh que non evidemment et chacun vit avec son fardeau qu'il espère un peu moins lourd chaque jour<br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> Moi c'est le jour de la fête des mères qui était difficile...Bisous. Zapi<br />
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P
<br /> <br /> je me doute bien Isa.....<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Bisou<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> je sais que tu es encore malheureuse de cette absence... Je voudrais me confier à toi, mon père ne m'a jamais prêté d'attention quand après mon bac j'ai fait fac de lettres et pas de philo (mon<br /> père était docteur (bac + 8) en philo). Il n'a jamais vu, depuis ma première expo en 1974 et jusqu'à sa mort, un seul tableau de moi. Quand j'ai eu mon doctorat sur Berlioz il ne m'a pas<br /> félicitée. Il n'a lu aucun de mes livres édités. En 2003 j'ai vu un nouveau livre de moi paraître avec comme illustrations mes aquarelles. Mon père était en maison médicalisée et ne souhaitait<br /> pas me voir, il n'est jamais venu à l'église m'écouter jouer de l'orgue... Ma mère a voulu qu'il lise, contre mon avis, mon livre paru en juin 2003. Il l'a lu et m'a écrit 4 pages en s'excusant<br /> et en me demandant pardon de m'avoir ignorée... J'ai pardonné, il en a été heureux. Il est mort quelques jours plus tard. Je te donne une grande preuve d'amitié en te racontant cela. Bises<br />
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P
<br /> <br /> comme je suis touchée par ce temoignage.....tu as eu ce parcours qu'il ne souhaitait pas mais il a su avant de partir reconnaitre les qualités qui t'animent...<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Merci de m'avoir ouvert une part du livre de ta vie<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Bise<br /> <br /> <br /> <br />